La transmission de son officine à son assistant(e) témoigne d’une volonté forte du titulaire d’apporter à une opération avant tout financière et patrimoniale une dimension humaine et confraternelle. Le climat actuel peut rendre difficile pour un(e) jeune diplômé(e) l’acquisition d’une officine : peur de l’aspect gestion de l’entreprise, apports limités, besoin d’un appui humin et financier… Une convergence d’intérêts est donc tout à fait envisageable entre un titulaire sur le départ et son assistant(e). Plusieurs solutions financières et juridiques existent pour réussir son passage de témoin.
Un article de OLIVIER DESPLATS & LOUIS MAERTENS – cabinet FCC – Expertise comptable, Audit et Conseil.